Si vous pensez qu'investir dans la valeur avec rigueur, discipline et méthode peut rapporter gros à long terme, notre méthode d'investissement en bourse est faite pour vous

 

« Investir dans la valeur » lorsque l'on parle de marchés boursiers, cela consiste à acheter des actions de sociétés qui s'échangent sur le marché en dessous de leur « vraie valeur ».

La base de « l'investissement dans la valeur » suppose donc que l'on a pu donner « un juste prix » à la société en question.

La majorité des investisseurs dans la valeur établissent leur valorisation en analysant les produits d'une société, ses bénéfices futurs et ses perspectives à long terme. Pas nous…

Depuis 2008, nous valorisons les entreprises que nous achetons en nous basant sur leurs actifs  tangibles ou sur leur rentabilité, mais nous conjuguons cela au présent et seulement au présent : nous reconnaissons volontiers ne pas avoir le don divinatoire des pythies, à savoir prévoir l'avenir.

Nous ne sommes pas intéressés par la pérennité des produits et la performance boursière d'une société déterminée à long terme, mais seulement par la performance globale de l’ensemble de notre portefeuille à long terme.

Au sein de ce portefeuille, chaque société a été achetée systématiquement au rabais selon des critères précis.

C'est parce que cette forme d'investissement dans la valeur est contre intuitive que nous avons élaboré une méthode rigoureuse qui nous indique quand acheter et quand vendre. Une méthode qui ne laisse aucune place aux « à peu près », aux convictions, aux émotions, aux interprétations. Une méthode grâce à laquelle le risque de perte est connu d'avance et limité, et le gain inconnu et illimité.

C'est donc une méthode de gestion asymétrique par excellence que l’on pourrait résumer par « pile je perds peu si cela tourne mal et face je gagne beaucoup si cela tourne bien ».

Comme nous aimons appeler un chat, un chat et ne faisons jamais la moindre concession sur l'honnêteté et la transparence, cette méthode n'est pas à vendre. Elle est à découvrir intégralement sur notre blog en lecture libre, au travers des dizaines d'articles explicatifs et illustrés d'exemples pratiques, du « vécu » bien au-delà de la théorie.

Partager notre expérience était l’idée de départ en 2008 et c'est toujours le cas aujourd'hui. Notre méthode a été inspirée par le père de l'analyse fondamentale, Benjamin Graham, professeur à l'université de Columbia, mentor des plus grands investisseurs dans la valeur depuis plus de 80 ans et auteur du livre « L'investisseur intelligent ».

Vous trouverez également, en accès libre, de nombreux articles traitant de la psychologie de l'investisseur. Ils vous aideront à mieux vous connaitre et à comprendre aussi comment notre méthode vous protège de l'éternel retour de l'irrationnel qui sommeille en chacun de nous.

Que pouvons-nous vous offrir de plus que cette expérience vécue et partagée ? Notre Lettre mensuelle via un abonnement dont le prix ne coûte pas plus que les frais de courtage de quelques transactions boursières.

Le concept de cet abonnement est très simple : nous vous offrons le résultat de dizaines d’heures de travail hebdomadaires et vous présentons des sociétés qui correspondent à nos critères.

Nous expliquons donc en détail ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons... mais en aucun cas ce que vous devez faire.

Si vous avez fait l'effort de comprendre notre approche, nous vous offrons, au travers de cet abonnement, un gain de temps considérable : celui passé à rechercher les sociétés correspondant à nos critères, bilan par bilan. Mais pas seulement…

Contrairement aux nombreuses offres disponibles sur le marché, nous n'analysons pas des sociétés juste pour le plaisir, juste pour montrer que nous sommes brillants ou pour faire du remplissage : nous analysons des sociétés pour notre propre portefeuille, que nous achetons personnellement.

Pour vous permettre un maximum de réactivité, nous mettons à votre disposition l'analyse de la société très rapidement dès que nous avons nous-mêmes procédé à l’achat et nous vous prévenons aussi quand nous vendons une des lignes du portefeuille. Vous savez donc en permanence ce que nous faisons et votre liberté de décision reste totale et entière.

Comme nous investissons réellement sur les sociétés que nous analysons, nous en effectuons, après l’achat, le suivi dans le temps. Au travers des Lettres mensuelles, vous bénéficiez également de ce suivi avec notre rubrique des « news » : tout ce qui nous semble important pour suivre au mieux nos investissements l'est aussi pour vous. Les fait importants sont analysés et les changements chiffrés, mis en lumière.

Vous avez aussi accès à notre portefeuille entièrement dévoilé, actualisé chaque week-end, vous permettant de mettre à jour les données chiffrées au fur et à mesure des changements induits au fil des rapports financiers successifs.

Depuis fin 2019, nous avons également mis en place le Forum daubasses 100% actions réservé aux abonnés qui permet d'échanger sur les actions en portefeuilles mis aussi sur les idées d'investissements d'autres abonnés ! Cet outil était une demande récurrente des abonnés : nous l'avons donc créé.

Enfin, même si notre temps n'est pas toujours extensible, nous apprécions énormément le dialogue avec nos abonnés investisseurs que ce soit pour les aider à éclairer une interrogation ou pour un simple échange d'idées via les commentaires du blog, sur le forum, via Twitter ou par mail.

En y consacrant un minimum de temps, notre offre vous permet de bénéficier d'un travail de recherche conséquent tout en étant réellement aux commandes de votre gestion, que ce soit dans la lecture de l'analyse comme dans le suivi complet des positions.

Vous serez donc toujours avec nous dans le même bateau, à chaque fois que vous déciderez de prendre un bateau.

Pour découvrir plus en détail notre philosophie d'investissement, cliquez sur ce lien.

 

Performance du "portefeuille daubasses 1" au 28 septembre 2018, après 9 ans et 308 jours :

+978,6%
(rendement réel obtenu après impôts et frais de transaction sans recours à un quelconque levier)

Sur la même période, l'ETF Lyxor® MSCI World (tracker sur indice mondial): +203,4%

 

-> Cliquez ici pour consulter tous les mouvements sur notre compte-titre en totale transparence ! <-

Tableau - portefeuille daubasses 2 : 31 octobre 2018 - ...

 

 

 

Tableau - Portefeuille Pépites PEA

 

 

 

Portefeuille daubasses réel "1" :  26 novembre 2008 - 29 septembre 2018

 

 

Portefeuille

Daubasses

Tracker Lyxor®

MSCI World

Ecart de

performance

2008
(à partir du 26/11)

-3,7% -2,8% -0,9 pt
2009 +308,7% +29,8% +278,9 pts
2010 +38,1% +17,3% +20,8 pts
2011 -15,6% -8,2% -7,4 pts
2012 +24,2% +11,2% +13,0 pts
2013 +20,7% +20,2% +0,5 pt
2014
+5,5% +18,8% -13,3 pts

2015

+7,6% +10,3% -2,7 pts

2016

+19,2% +9,4% +9,8 pts

2017

+12,5% +6,4% +6,1 pts

2018
(28 septembre)

+3,1% +8,0% -4,9 pts

TOTAL

+978,6% +203,4% +775,2 pts

Graphique - portefeuille daubasses 2 : 31 octobre 2018 - ...

Graphique - Portefeuille Pépites PEA

 

Notre Philosophie


Investir en daubasses, c’est se constituer un portefeuille diversifié d’actions de sociétés qui présentent à la fois un haut potentiel de plus-value et un profil de risque contrôlé.

Pourquoi un haut potentiel de plus-value ?

Parce que ces sociétés sont tellement sous-évaluées par le marché boursier qu’un retour à leur « juste valeur » ne peut qu’entraîner une hausse conséquente de leur cours.

Pourquoi un profil de risque contrôlé ?

D’une part, parce que nous veillons à n’acheter que des actions de sociétés devant supporter un endettement raisonnable, voire pas d’endettement du tout. Et d’autre part, parce que ces sociétés sont achetées largement sous la valeur de leurs actifs tangibles, ce qui nous octroi ce que les banquiers appellent un « collatéral » en garantie de notre investissement.

Pourquoi appelons-nous « Daubasses » les sociétés dans lesquelles nous investissons ?

Tout d'abord, pour le second degré : nous apprécions l'autodérision et, si nous abordons l'investissement sérieusement, nous ne voulons pas pour autant nous prendre au sérieux. Bref, nous voulons faire l’inverse de ce qui se fait généralement dans le monde de la finance, lequel se prend toujours au sérieux sans pour autant faire les choses toujours très sérieusement.
 
Ensuite « Daubasses » nous semble bien résumer, en un seul mot, le côté contre intuitif de cette manière d'investir. Investir dans une société dite « Daubasse » ne met jamais à l'aise l'investisseur car celui-ci se concentre souvent et parfois uniquement sur les profits, les produits et les perspectives. Et une société dite « Daubasse » n'est parfois pas toujours en situation confortable avec ces trois éléments.

Qu'est-ce qu'une « Daubasse » ?

C'est une société qui rencontre différents types de problèmes, que ce soit avec ses produits, ses clients ou encore dans un pays où elle déroule ses activités.
 
C'est une société qui génère souvent des pertes sur plusieurs trimestres ou plusieurs années et dont la direction n'est souvent pas considérée comme des plus brillantes dans le milieu des affaires, même s'il existe des exceptions.

C'est une société dont la rentabilité est parfois en perte de vitesse, mesurée par les critères communs. Les Daubasses sont en général des sociétés de petite taille ou, à la rigueur, de taille moyenne, qui sont plus sensibles à la conjoncture économique. Elles sont peu suivies par les institutionnels (banques, assureurs, fonds de placements,...) car trop petite pour ceux qui ont des dizaines ou des centaines de millions à investir. Nous pourrions dire dans 99% des cas que ce sont des sociétés inconnues et oubliées d'une grande majorité des acteurs du marché. C’est cela qui offre un avantage à l'investisseur individuel.

Dans tous les cas de figure, le marché estime que les perspectives de ces sociétés sont négatives à court terme ... Et des perspectives négatives à court terme signifient un cours massacré sur les marchés financiers.

C'est donc grâce à l'évaluation négative du marché et très souvent à une exagération dans la sanction sur le cours que nous entrons en piste ... avec de fortes exigences.

En d'autres mots, notre méthode exige un cours offrant une décote importante sur les actifs tangibles nets de l'ensemble des passifs de la société ou, à la rigueur, une rentabilité importante liée à ces actifs et sous-estimée par le marché.

Néanmoins, il n'est pas nécessaire d'avoir un MBA ou un diplôme de gestion financière de Princeton ou d'Harvard pour calculer la valeur des actifs net tangibles d'une société. Fixer un seuil d'achat et un seuil de vente exige seulement de maitriser les 4 opérations de base, et aussi de faire preuve de bon sens paysan.  Cela exige aussi d’agir avec discipline et rigueur sans laisser interférer les biais psychologiques qui poussent à l'erreur en permanence.

Walter SchlossAvant de vous détailler toutes nos catégories « Daubasses », nous allons laisser la parole à Walter Schloss, élève puis employé de Benjamin Graham, collègue de Warren Buffett dans la société « Graham & Newman Corporation » et enfin gérant de sa société d'investissement « Walter J. Schloss Associates » pendant plus de 50 ans: 

« Essayez d’acheter des actifs avec décote plutôt que des bénéfices. Les bénéfices peuvent changer significativement sur un laps de temps très court. Les actifs, eux, sont plus stables. On doit en connaître nettement plus sur une entreprise si on base sa décision d’achat sur les bénéfices  ».   
 
Depuis 2008, nous avons donc travaillé et investi sur 4 catégories distinctes de daubasses que nous avons « baptisées » d'un nom différent pour bien différencier certaines de leurs caractéristiques.

Les net-net

Les net-net qui avaient émergé en 1929, puis disparu lentement dans les années 70, sont réapparues avec le krach de 2008. Nous étions à l'époque les seuls dans le monde francophone à avoir remis à l’honneur cette manière d'investir et, à notre connaissance, un seul blog américain traitait des net-net depuis 2005. Cette catégorie est inspirée à 100 % de Benjamin Graham.

Il s'agit d'une très forte anomalie de marché, puisqu'il vous propose un cours inférieur à la valeur net-net de la société. Cette valeur net-net (que nous appelons VANN pour faire court) se calcule en soustrayant des actifs à court terme (cash, créances clients, stocks, ...) l'ensemble du passif de la société. Et nous exigeons que le cours soit 30% inférieur à la valeur obtenue, pour y investir.

Benjamin GrahamDans l'édition de 1972 de « L’investisseur Intelligent »,  voici ce que Benjamin Graham écrivait à propos de ces net-net : « Beaucoup de nos propres opérations de bourses se concentraient sur la recherche de bonnes affaires. Nous appelons ainsi ces titres dont les cours étaient inférieurs à leur fonds de roulement net. A l’évidence, ces titres se vendaient à un prix bien inférieur à la valeur marchande privée de l’entreprise. Aucun propriétaire ou actionnaire majoritaire de tels biens industriels ne songerait un instant à les brader aux prix reflétés par les cours. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il fut un temps où de telles anomalies n’étaient pas si rares que cela. Nous avons publié en 1957 une liste de 200 titres qui offraient de telles caractéristiques. D’une façon ou d’une autre, toutes ces bonnes occasions ont tenu leur promesse et la rentabilité annuelle que nous en avons tirée fut très supérieure à ce que nous pouvions trouver sur des formes plus courantes d’investissement... ».

Les net-estate

Dans la foulée de notre investissement sur les net-net en 2009, en poursuivant notre réflexion sur l'investissement dans les actifs tangibles, nous nous sommes dit que les biens immobiliers détenus en propre par une société étaient également des actifs bien tangibles, peut-être même plus solides que les seuls actifs courants avec l’avantage qu’ils n'apparaissaient pas souvent dans le bilan à leur juste valeur. Nous avons donc créé cette deuxième catégorie que nous jugeons redevable à notre propre réflexion à 50%, et à 50% à Benjamin Graham.
 
Tout simplement pour le fait qu'au lieu de tenir compte des seuls actifs courants, nous y avons ajouté la valeur des immeubles au coût d'acquisition amputée d'une marge de sécurité de 20%, de laquelle nous avons soustrait l'ensemble des dettes de la société.
 
Pourquoi la valeur de l'immobilier d'une société est-elle cachée dans le bilan ? Tout simplement parce que l'immobilier apparait au bilan à sa valeur amortie.  

Petit exemple ...
Le coût d'acquisition du siège central d’une société quelconque au centre de New-York est de 100. L'amortissement de l’immeuble se fait en 25 ans. Chaque année, la valeur de l'immeuble sera amputée de 4 dans le rapport financier. 20 ans plus tard, la valeur du bâtiment reprise au bilan sera donc de 20 (soit 100 de coût d'acquisition - 80 d'amortissements).
 
Nous estimons qu'un bâtiment au centre de New-York repris pour 20 dans le bilan a bien plus de valeur que cela. Il devrait normalement valoir son coût d'acquisition plus l'inflation sur 20 ans !

Les RAPP pour Rentabilité A Petit Prix

Les RAPP sont le fruit d'une de nos dernières réflexions sur l'investissement dans la valeur avec une rentabilité corrélée aux actifs.
 
Cette catégorie, mise au point en 2014, est sans doute la catégorie la plus emblématique et la plus aboutie de toutes nos recherches dans la valeur basée sur les actifs, et est bien entendu 100% originale. Même si ces sociétés restent de notre point de vue des « daubasses » bradées, c'est la catégorie la moins contre intuitive car ces sociétés dégagent des free cash flow positifs sur plusieurs années et ont une forte rentabilité. Néanmoins, pour différentes raisons, cette rentabilité n’apparaît pas au premier coup d’œil et nous pensons qu’une partie est « cachée ». Nous entendons, par le terme « cachée », le fait que cette rentabilité n'apparait pas avec de simples ratios ou une recherche académique. C'est aussi la catégorie la plus chronophage en ce qui concerne la recherche.

Diversification dans la Valeur

Poursuivant sans relâche notre réflexion sur les actifs, nous avons débouché sur l'idée qu'à partir du moment où nous pouvions calculer où trouver une valeur au présent sans projection des profits et que le cours représentait 70% de cette valeur, la décote était intéressante.

Même si les actifs nets tangibles étaient agrégés à d'autres actifs moins tangibles, la marge de sécurité chère à Benjamin Graham nous protégeait de certains déboires.

En plus de tout cela, certaines sociétés de cette catégorie possédaient de la valeur cachée.

Nous avons créé cette catégorie « diversification dans la valeur » en 2011 et les règles que nous appliquons sont 100% de notre cru.

Voici donc les 3 principales sous catégories:

A) Les fonds fermés cotés

Ces fonds sont dits « fermés » dans le sens où, contrairement aux SICAV classiques, le capital ne varie pas en fonction des entrées et sorties des investisseurs. Leur capital est donc fixe au même titre que n’importe quelle société industrielle. Contrairement aux SICAV, la variation de leur cotation ne dépend donc pas de leur valeur de liquidation mais, tout simplement, de l’offre et de la demande. Ce qui signifie que ces fonds peuvent parfois être surévalués par rapport à leur juste valeur et parfois sous-évalués. C’est évidemment dans ce dernier cas de figure que nous passons à l’achat.

Il est donc possible d'acheter ces fonds avec une marge de sécurité que nous jugeons digne d'intérêt.

Bien entendu, nous avons des règles strictes pour acquérir ces fonds, comme par exemple le fait que minimum 70% du fonds doit détenir des sociétés cotées sur les marchés afin d’éviter que l’essentiel de la valeur de liquidation ne porte sur des sociétés non cotées dont l’évaluation serait laissée à l'appréciation de la direction.

Ce type d'investissement permet, entre autres, d'accéder à des marchés émergents qui ne sont pas accessibles via nos brokers ou nos banques européennes.

B) Les holdings et conglomérats

Les holdings et conglomérats sont des entités regroupant plusieurs sociétés déroulant des activités parfois très différentes. Le holding le plus célèbre au monde est certainement Berkshire Hattaway, dirigé de main de maître par Warren Buffett depuis plus de 50 ans.  

Si certains holdings publient leur NAV régulièrement, d’autres laissent planer le mystère sur leur « vraie valeur » et celle-ci est parfois bien cachée dans un « entrelacs » de participations croisées.

Dans ce cas, nous avons donc mis au point une méthode grâce à laquelle nous débusquons la vraie valeur de la somme des parties en fouillant les bilans, participation par participation. Si la décote par rapport au cours est de plus de 30%, nous estimons que c'est une cible potentielle.

Ces holdings, tout comme les fonds fermés, nous permettent d’investir sur des segments de la cote dans lesquels nous allons rarement avec nos deux premières catégories (grosses capitalisations, matières premières, pays émergents, banques et assurances, ...) assurant ainsi une bonne diversification à l’ensemble de notre portefeuille.

C) Les mines de métaux précieux

Il s’agit sans doute de la sous-catégorie de diversification dans la valeur par laquelle nous avons atteint les limites de l'investissement dans les actifs, car ceux-ci (les réserves d’or et d’argent non encore extraits) sont cotés et donc fluctuants.

Notre méthode pour évaluer ces actifs est basée sur d'importantes marges de sécurité à tous les niveaux. Couplé à des exigences de coûts d'extractions les plus faibles possible afin de n’acheter que les sociétés à même de résister à des longues périodes de cours déprimés sur les métaux précieux.

Nous considérons ce type d’investissement comme une protection de notre portefeuille au cas où « les choses tournent mal ». L’histoire nous apprend que c’est effectivement pendant les périodes de grandes turbulences qu’un investissement dans les métaux précieux s’avère le plus efficace : tant durant la grande dépression des années 30 que durant la période de guerre froide et d’hyper inflation des années 70, un investissement en mines d’or s’est avéré particulièrement judicieux.


Avec ces quatre catégories, nous pensons avoir trouvé la gamme complète pour nous permettre d'investir dans la valeur, et plus particulièrement dans les actifs dans tout type de conjoncture de marchés. Que ce marché soit vraiment déprimé et fortement baissier, ou alors euphorique voire haussier, nous chassons les occasions où qu'elles se présentent en ne payant jamais plus de 0.70€ pour une valeur de 1€.

Nos process sont bien définis et ne laissent pas de place au doute. Dès que nous disposons des chiffres des rapports financiers, nous savons pour chaque catégorie si la société correspond à nos critères et si le cours offre une décote sur les actifs. Nous avons donc dès cet instant une borne d'achat précise et un prix cible à la vente tout aussi précis, qui évolueront par la suite au fil de la publication des rapports trimestriels et annuels.

Nos expériences et performances démontrent que l'avantage statistique de notre méthode découle d'une diversification sérieuse.

En 2008, nous avons démarré notre portefeuille par un investissement de 15.000€ sur 30 sociétés, soit 500€ par société. Donc une diversification sur 30 sociétés réparties sur l'ensemble du portefeuille, avec des lignes valant 3.33% du total.

Si l'une de nos sociétés faisait faillite et que son cours allait à 0€, nous savions d'avance que notre perte maximum serait de 3.33% alors que certains de nos gagnants ont vu leur cours multiplier par 5, 7 et même 12.

L'asymétrie est donc entière et puissante : « face je perds 3.33% de mon portefeuille, pile je réalise des plus-values de 500-700, voire 1200% ».

Si vous désirez découvrir notre méthode plus en détail dans une sorte de parcours fléché non exhaustif, cliquez sur ce lien.

On parle de nous !

Dans le magazine Capital :

Dans le hors-série du magazine Capital ("les meilleurs sites pour débuter en bourse") publié en avril 2015 !



 

Vous voulez un avis sur les daubasses ?

Voici quelques témoignages et commentaires d'abonnés :

 

Cyril A., juin 2019 :

Je suis membre des Daubasses depuis mars 2014 et j’ai très vite été séduit par leur approche de l’investissement. Leurs analyses de sociétés m’ont permis de me former de manière très pragmatique à l’investissement value et de mettre en pratique les concepts théoriques que j’avais découvert en lisant différents ouvrages sur la bourse et notamment, L’investisseur intelligent de B. Graham.

Les Daubasses vont là où les autres ne vont pas et décortiquent pour leurs abonnés les états financiers des entreprises afin de dénicher de réelles opportunités d’investissement. Les titres sélectionnés présentent des décotes importantes sur leur valeur intrinsèque (estimée de manière conservatrice) et donc des potentiels de revalorisation élevés.

L’offre est complète avec des analyses détaillées, une information en temps réelle des prises de position, une newsletter mensuelle, un suivi régulier de l’actualité des titres en portefeuille… pour une somme défiant toute concurrence et qui pour ma part a très vite été rentabilisée ! Pour l’abonné, c’est un gain de temps considérable et un confort très appréciable.

Enfin, j’apprécie les Daubasses pour leur humour, leur totale transparence et leur humilité alors que leur performance qui a été remarquable sur les dix dernières années (près de 5 fois la performance d’un indice mondial !).

 

bibike, avril 2018 :

Ma préférence va aux daubasses selon Graham et adaptée par l’équipe belge éponyme.
Je vous passe les critères quantitatifs il suffit de lire leur visite guidée du blog.

Je n’utilise pas de screener en particulier car s’agissant de small voir nano caps, il faut de toute façon ouvrir les rapports d’activité en pdf, les données ne sont pas suffisantes voir pas reprises par les screeners.

Les critères screenables sont simples, un faible price to book et un cours à la rue de ces plus hauts récents, permettant de présager une inefficience de marché (une baisse disproportionnée par rapport à la valeur d’actif tangible net de la société, avec de nombreuses marges de sécurité sur les postes les plus critiques).

Je préfère ce style car :
- l’historique de surperformance est largement démontré à long terme (études académiques, Graham, Buffet, Schloss et sur les dix dernières années par les Daubasses)
- il est simple à appliquer (process quantitatif)
- il ne nécessite pas de connaissance en terme de business ou de produits (mon gros point faible)
- les fortes décotes sur actifs tangibles avec un endettement mesuré me permettent de bien dormir la nuit car j’ai quelque chose de tangible et de quantitatif auquel me raccrocher
- les actifs sont plus stables que les bénéfices (moins volatiles)
- avec le deep value on n’achète ni les bénéfices, ni la croissance, donc tout ça (quand il y en a ou quand l’entreprise en créé) c’est gratuit, on ne prend pas le bouillon pour un profit warning.

 

Stéphano, septembre 2017 :

Bonsoir et merci pour le  courrier.. Même si ce ne sont que des mots: merci pour ce que vous faites ! ! !

Même "commerciale", je ressens une intention philanthrope, ne changez rien et continuez sur cette voie.


Antoine B., septembre 2017 :

je voudrais vous dire à quel point je suis impressionné par le travail accomplie depuis bientôt 9 ans ainsi que l'effort de pédagogie que vous faites. Je pense avoir lu 90% des articles et je trouve ça formidable. (...) Encore bravo pour ce travail titanesque.

Thomas VH, août 2017 :

Merci pour votre réactivité, et dans l'ensemble pour votre extraordinaire travail plein de passion.

Okavongo, juin 2017 :

Je suis abonné depuis mai 2011. C’est d’ailleurs grâce au forum IH et notamment aux interventions pertinentes de Louis Pirson que j’ai commencé par un abonnement test de quelques mois toujours renouvelé depuis.

Ce que j’apprécie chez les Daubasses :

- leur performance évidemment (918,83 % après 8 ans et 212 jours) ;

- leur éthique : ils sont d’une totale transparence allant même jusqu’à diffuser des extraits de comptes. Ils reconnaissent leur erreurs et en font même parfois des articles de blog ;

- leur process : il apporte une rigueur certes contraignante (j’y déroge parfois avec des résultats mitigés) mais c’est un repère utile dans la jungle des marchés. Ils le font évoluer sans cesse, apprenant de leur erreurs et l’enrichissant de leurs expériences ;

- leur état d’esprit : les Daubasses ne se prennent pas au sérieux et j’apprécie beaucoup. Une touche d’humour, d’auto-dérision et du bon sens qui se moque des modes voilà un cocktail fort sympathique qui me fait attendre chaque mois avec impatience leur lettre mensuelle ;

- leur style d’investissement qui me correspond bien et que je résumerai ainsi : radin (acheter des actifs le moins cher possible) ;

- leur pédagogie : ils prennent toujours le temps d’expliquer et de répondre aux commentaires sur leur blog

Mes seuls regrets sont de ne pas avoir connu les Daubasses plus tôt et d’avoir alloué à mon portefeuille une poche trop faible aux Daubasses. Mais j’essaye de rééquilibrer progressivement.

En résumé : performance vérifiable, transparence, reconnaissance des erreurs, remise en question permanente, partage, le tout sans avoir la grosse tête.

 

Et encore :

G-B :

Encore bravo pour votre blog que je suis depuis maintenant 1 an et surtout, pour la partie Analyse Financière qui vaut bien plus que beaucoup de livres que j'ai lu.

Thibaut :

Je viens effectivement de vendre AH Belo et la plus-value suffit à payer mes prochaines vacances...

David :

Continuez comme cela à nous dénicher de belles daubasses !

Jean-Pierre :

Le système de paiement est simple, rapide et sûr. Rien à dire. Les envois par email me semblent la meilleure solution. Le site est fourni et bien documenté. Je suis particulièrement satisfait du travail offert par votre équipe. Merci d'avoir eu le courage, la patience et la volonté de l'avoir fait.


Guillaume :

Je dois vous féliciter pour la qualité de vos analyses et également par le ton que vous employez. Ainsi malgré mon faible niveau et mon jeune âge, j'ai pu apprendre beaucoup et continue apprendre. Je ne peux que vous encourager à continuer ainsi et surtout à garder cette approche didactique sans arrogance.


Sébastien :

J'aime bien, c'est lisible, compréhensible et une approche value qui me parait vachement plus rationelle que l'AT.


 

Sur des blogs également :

"A mes début ... je me suis intéressé aux différents produits ... j'ai cherché des choses et je suis tombé sur le blog des daubasses, je suis tombé amoureux au bout de la deuxième ligne, je me suis dit c'est fou, il y a des gens qui font ça depuis 100 ans, qui s'enrichissent, ça marche toujours et en plus, le principe est d'une simplicité exemplaire."
Etienne

"On peut citer l'offre des daubasses, qui a un tarif raisonnable et dont le tracking record est public et maj régulièrement. Comme ils investissent dans les micro-caps délaissées, leur travail a une vraie valeur ajoutée et ils en publient régulièrement des extraits sur leur blog, donc vous savez ce que vous achetez."
Philippe, l'Investisseur Heureux du forum "IH"

"Pourquoi je vous recommande ce blog:
- Une mine d’informations et de conseils sur l’analyse fondamentale et l’investissement dans la valeur.
- De nombreux articles très sérieux et vraiment bien rédigés depuis presque 4 ans.
- Une approche qui suit les pas des plus grands (Buffett, Graham, Schloss).
- Une performance du portefeuille impressionnante, surtout compte tenu qu’il a démarré fin 2008, en plein milieu de la crise financière.
- A suivre absolument!!!"
Ben, de BourseEnesemble

"Un blog très intéressant intitulé « les daubasses selon Graham » nous détaille concrètement des analyses selon la méthodologie d'investissement value détaillée dans le livre de Graham « the intelligent investor ». Malgré le titre provocateur, ce site est très pédagogique et intelligent. L'idée est de trouver les sociétés les moins glamour possibles présentant une valeur boursière inférieure à leur valeur nette nette (fonds de roulement net de toute dette) de manière à obtenir la marge de sécurité la plus importante possible."
SB

"En parcourant à la volée les différentes pages du blog, une première chose nous frappe : la pédagogie avec laquelle nos amis des daubasses nous expliquent leur façon d’opérer et les raisons de leurs différents arbitrages."
Charly

"Les Daubasses... Cela peut être un titre décallé, et oui, il l'est ! Le blog "Les Daubasses" vous invite à comprendre leur logique d'investissement, et vous pousse à réfléchir pour vous même organiser votre propre patrimoine. Ensuite, à vous de juger si le raisonnement vous semble correct, et comment l'appliquer sur les valeurs que vous détenez."
GIGI

"Ils communiquent ainsi à leurs abonnés (et aux autres, avec un temps de retard) leurs analyses et leurs mouvements d’achat et de vente d’actions. Ce style de gestion pourrait se concevoir comme étant une approche « valeur » (ou « substance » ou « value ») radicale, à la Benjamin Graham. Quels en sont les résultats jusqu’ici ? Eh bien, en date du 5 novembre 2010, soit après 1 an et 346 jours, le rendement cumulé obtenu est de 413% ! Certes, nos sympathiques amis ont entamé leur activité à des niveaux boursiers déprimés et on profité à plein de la reprise de 2009. Mais, à titre de comparaison, la référence utilisée, à savoir l’ETF Lyxor MSCI World a grimpé de seulement 40%."
Vincent

"Ce sont les champions du monde toute catégorie de l'investissement valeur."
Lupus

"Un très bel exemple de passage de la théorie à la pratique et qui fut mise en place avec beaucoup de ténacité et perspicacité dans le cadre de marchés financiers au plus bas et ma foi dans une ambiance fort peu propice à l’investissement... Double Bravo donc à nos amis des Daubasses !!!!"
Lupus

"Un vrai site "value" que je recommande au passage"
Loïc Abadie

"Quant au value, soit ça prend tout de suite, soit pas. Si ça prend, alors lisez, lisez tout, sur Buffett, Graham, Munger et Schloss, pour commencer. Lisez aussi d’excellents blogs, comme le votre ou les daubasses. [...] Je tire aussi un coup de chapeau à l’équipe des Daubasses pour leur excellent boulot, je suis membre depuis le début."
Lionel

"la première fois que je me suis intéressé au value investing, c'est sur les daubasses en lisant leur excellent site sur toutes les techniques et leurs méthodes de valorisation."
Sylvain

 

Et dans des ouvrages consacrés à l'investissement :

Investir en bourse : styles gagnants, styles perdants, écrit par Julien Delagrandanne.

A la page 26 du livre, nous pouvons y lire ceci :

L'équipe dite "des daubasses" essaie de s'inspirer des thèses de Benjamin Graham pour mettre en place un style value "bottom up" [...] une philosophie générale d'investissement correspondant à un style clairement gagnant est affichée et le prix modique de l'abonnement (quelques dizaines d'euros) montre qu'ils sont loin de se placer dans une logique purement mercantile.